La mécanique génocidaire israélienne peut-elle s'arrêter ?

Après 2 ans de terreur et de dévastation, Gaza retient son souffle après l'accord de cessez-le-feu entre les puissances coloniales et le Hamas, la libération des otages israéliens et d'un millier des 11 000 prisonniers Palestiniens séquestrés par l'état génocidaire dans ses geôles infâmes. Les meurtres de Palestiniens continuent dans la bande de Gaza.
Comment le processus génocidaire est-il illustré par la destruction du système de santé, le ciblage des soignants, tués, emprisonnés, torturés, détenus sous des allégations contraires au droit humanitaire international et aux engagements de ceux qui soignent ? La torture de la figure charismatique du Dr Abu Safiya témoigne de l'intention criminelle qui anime le système concentrationnaire israélien.
Pourquoi le terme génocide ne peut pas être réfuté, tant au plan moral que du droit international? Que cachent les dénégations et la propagande politico-médiatique ? Quelles implications pour la complicité de génocide ? Jusqu'à quels acteurs cette complicité peut-elle être reconnue?
Le sort des prisonniers palestiniens, tous prisonniers politiques, s'est considérablement dégradé déjà avant le 7 octobre avec les décrets des ministres les plus suprémacistes du gouvernement génocidaire, Smotrich et Ben Gvir au point que les prisons sont devenus des camps de torture.
La mécanique génocidaire alimentée par la complicité des puissances occidentales peut-elle s'arrêter et à quelles conditions ?